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Axel Domont souffre encore d’acouphènes

Ça a été l’une des dures images du début de Tour de France : la très lourde chute d’Axel Domont, lors de la quatrième étape, dans les cinq derniers kilomètres menant à Sarzeau. L’état du coureur d’AG2R La Mondiale nourrissait quelques inquiétudes, les premières constations faisant état d’un « traumatisme crânien important« . Une fracture du crâne était redoutée mais fort heureusement les examens ont écarté cette hypothèse. Le choc resta lourd toutefois, aussi bien mentalement que physiquement. En marge du Critérium de Shanghai, Domont raconte à L’Equipe les moments difficiles qu’il a traversés. Outre la déception de l’abandon, il reste encore des séquelles physiques et notamment ces acouphènes persistants.

« J’ai encore des acouphènes, des bourdonnements permanents dans l’oreille droite, expliquait-il à L’Equipe. Plein de gens vivent avec ça mais, à 28 ans, c’est un peu précoce. C’est pas grave, c’est chiant. C’est consécutif au choc. Après la chute je ne tenais pas debout, je me cassais la gueule et pendant presque deux mois j’ai eu une perte d’audition. On me dit que ces bourdonnements s’atténueront peut-être ou peut-être pas« . Un cas qui rappelle un peu celui de Tom Boonen, dont l’audition est irrémédiablement altérée depuis une chute sur le Tour d’Abu Dhabi 2015.

En outre, Domont a aussi souffert d’une fracture très déplacée de la clavicule : « C’est la sixième fois que je me casse une clavicule, c’était la première fois à droite. Il a fallu attendre une semaine avant d’opérer, les médecins ne voulaient pas d’une anesthésie générale avant que l’hématome derrière le tympan ne se résorbe, qu’il n’y ait plus de troubles d’équilibre« . Et malgré tout, le coureur d’AG2R La Mondiale a tout fait pour rentrer au plus vite. Ce devait être La Vuelta mais il était bien trop tôt. Ce sera finalement le Grand Prix de Fourmies suivi du Tour du Doubs puis une demi-douzaine de semi-classiques italiennes et enfin le Tour de Guangxi.

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