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Tour de France : Dylan Groenewegen, de mieux en mieux

Le vainqueur des Champs-Elysées de l’an passé a remporté ce samedi sa deuxième étape en deux jours. A Amiens, il est resté caché le plus longtemps possible, avant de surgir et de devancer ses opposants d’une bonne longueur sur la ligne. Une tactique déjà éprouvée la veille, à l’arrivée de Chartres. 

Vendredi, il avait choisi la roue d’Alexander Kristoff (UAE), ce samedi c’est celle d’André Greipel (Lotto-Soudal) qui l’a emmené jusqu’à la victoire. Ce n’est pas un hasard s’il se cache toujours derrière l’un des sprinteurs les plus massifs du peloton. « Mon équipe m’a placé dans une position parfaite, juste derrière Greipel. Je suis resté là, j’ai attendu le bon moment, décrit-il. Sagan est parti trop tôt, je pense, alors je suis resté derrière Greipel qui se battait avec Gaviria pour avoir la meilleure position. C’était le moment d’y aller et (il claque des doigts) je l’ai fait. »

Sous les yeux de son père et de sa copine arrivés hier, il a remporté deux étapes coup sur coup après un début de Tour difficile. Parti de derrière, il s’est encore montré le plus puissant et a devancé ses rivaux d’une bonne longueur sur la ligne. Les jambes du sprinteur néerlandais vont de mieux en mieux. « Les deux premiers jours, j’avais de très mauvaises jambes, je ne sais pas pourquoi. Mes championnats nationaux ont été très durs, c’est peut-être la raison, diagnostique-t-il, avant de préciser ses objectifs. Le maillot vert n’est pas une option cette année, Peter Sagan est trop fort. Cette année, je viens seulement pour les victoires d’étapes, on verra l’année prochaine pour le maillot. »

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