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Hugo Hofstetter « quand même satisfait » de sa 3e place à Nokere

Cofidis avait une couronne à défendre mercredi sur la Nokere Koerse. Lauréate la saison passée avec Nacer Bouhanni, la formation nordiste devait toutefois se passer de son sprinteur-titre dans cette quête. Après une course de mouvements à laquelle elle n’a pas réellement participé, l’écurie française a finalement profité du regroupement dans le final pour jouer la carte Hugo Hofstetter. L’ancien champion de France espoirs s’est alors complètement livré dans l’arrivée en montée et sur pavés au Nokereberg. Il n’a néanmoins pu succéder à son coéquipier, étant devancé par le jeune Fabio Jakobsen (Quick Step Floors) et par Amaury Capiot (Sport Vlaanderen-Baloise) sur la ligne.

« Par rapport au déroulé de la course, je suis quand même satisfait, a-t-il confié quelques minutes après l’arrivée. Car il y a d’abord eu une échappée de huit coureurs loin devant, puis dans l’avant-dernier tour, un gros groupe est sorti. Là je pensais que la course était peut-être finie. Si on m’avait dit que je ferais troisième à ce moment-là, j’aurais dit que c’était bien. Mais c’est dommage, car lorsque j’ai lancé mon sprint, j’ai dû freiner un peu car le lanceur de Quick Step Floors s’est écarté et j’ai perdu un peu de vitesse. Jakobsen est remonté et moi je n’arrivais pas à remonter les dents donc j’étais en force. Mais c’est une bonne chose, un bon résultat pour l’équipe, qui a très très bien roulé dans l’avant-dernier tour. C’est aussi grâce à eux que j’ai pu faire troisième aujourd’hui ».

Pas surpris par son bourreau du jour, vainqueur d’étape sur le Tour de l’Avenir l’an passé, qu’il connaissait de par ses résultats chez les espoirs et dont il avait entendu parler via Florian Sénéchal, son ancien coéquipier, qui lui avait confié que le Néerlandais « allait presque plus vite qu’Elia Viviani » en stage de pré-saison, Hugo Hofstetter a surtout mis en lumière la difficulté du parcours proposé ce mercredi. « J’avais déjà fait la course lors des deux années précédentes, et c’était alors assez facile, a-t-il ajouté. L’année dernière, j’avais lancé Nacer qui avait gagné. J’avais donc mes repères pour faire mon sprint. Cette année, c’était beaucoup beaucoup plus dur, avec les deux grands derniers tours, les secteurs en montée, le vent de côté, le long secteur, les petits virages, la grande route. Ca faisait vraiment mal. Il n’y a pas de moment de récupération avant le sprint. C’était plus dur que les dernières années. »

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