L’UCI étudie de nouvelles pistes pour renforcer la lutte antidopage
L’UCI veut renforcer ses moyens d’agir contre le dopage. La haute instance a publié un communiqué ce vendredi, au lendemain de l’annonce des contrôles positifs d’Edward Beltran et Alexis Camacho. Outre ces deux coureurs colombiens, le communiqué note que « l’affaire Aderlass a montré une fois de plus que le dopage ne connaissait pas de frontières, ni entre les sports, ni entre les pays ». C’est pourquoi l’UCI a annoncé avoir pris contact avec l’International Testing Agency (ITA).
Cet organe soutenu par l’Agence Mondiale Antidopage gère actuellement les programmes antidopage de plus de quarante organisations, parmi lesquelles plusieurs fédérations internationales de sports olympiques. La haute instance cycliste étudie alors la possibilité de travailler avec l’ITA, tout en rappelant son soutien à la Fondation Antidopage du Cyclisme qu’elle mandate depuis 2008. Cette dernière continuera donc d’exercer en 2020. Une décision quant à l’éventuelle collaboration avec l’ITA est attendue début février.
The UCI explores new avenues in bid to step up fight against doping in cycling https://t.co/JdlUt545su pic.twitter.com/XEDCzZBxdD
— UCI_media (@UCI_media) October 18, 2019