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Julian Alaphilippe : « C’était un effort hyper violent »

Premier attaquant du jour, le maillot à pois a conforté son avance au classement de la montagne. Il n’a été battu pour la victoire d’étape que par Omar Fraile (Astana) et signe une belle deuxième place à Mende. Dans l’aire d’arrivée, Julian Alaphilippe (Quick-Step) était « cramé », mais satisfait malgré tout de conserver son maillot de meilleur grimpeur une journée de plus. 

Déjà vainqueur de la dixième étape au Grand Bornand, Julian Alaphilippe doit se contenter du premier accessit ce samedi à Mende. Il a grimpé la Côte de la Croix Neuve à fond, mais n’a pu rattraper Omar Fraile, sorti du groupe échappé quelques mètres avant lui. Le puncheur de 26 ans a finalement échoué à six petites secondes du vainqueur. « Je suis cramé… C’était un effort hyper violent, décrivait-il dans l’aire d’arrivée. Après, je suis forcément un peu déçu de passer proche de la victoire. J’ai bien senti dans le dernier kilomètre que Fraile était costaud. Mes équipiers ont fait un gros travail toute la journée. C’était l’objectif d’aller dans l’échappée, donc c’est plutôt une bonne journée. »

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Interrogé sur la mésentente du groupe de poursuivants dans les quinze derniers kilomètres, Alaphilippe a préféré souligner le travail de ses coéquipiers qui se sont sacrifiés pour lui offrir une chance de lever les bras. Il se satisfaisait aussi d’avoir pu accentuer son avance au classement de la montagne : il a désormais 20 points d’avance sur son premier adversaire Warren Barguil (Fortuneo-Samsic). « On était nombreux : forcément ça crée de la mésentente. Il y en a qui veulent la victoire d’étape, d’autres qui économisent leurs forces au maximum pour le final… Moi, je suis content de porter le maillot à pois une journée de plus, retenait-il malgré une légère déception. Je suis aussi content du travail de mes deux coéquipiers Philippe (Gilbert) et Yves (Lampaert) qui ont fait un énorme travail et m’ont fait confiance. J’échoue de peu pour une seconde belle victoire, mais je n’ai pas de regret parce que c’était vraiment difficile. »

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