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Omloop Het Nieuwsblad : AG2R-La Mondiale « dans le match » mais frustrée

Sur le papier, la saison des Classiques débute correctement pour AG2R-La Mondiale. Dans les faits, l’équipe de Vincent Lavenu a connu un départ très encourageant. Ce samedi, à l’arrivée de l’Omloop Het Nieuwsblad, le leader de l’écurie savoyarde, Oliver Naesen, n’a certes pris « que » la dixième place. Mais l’ancien champion de Belgique, accompagné de l’ancien champion de Suisse Silvan Dillier dans le final, pouvait tirer un bon bilan de la première Flandrienne de la saison. Le coureur de 28 ans n’a quasiment jamais quitté les avant-postes de la course, et a même sans doute donné quelques sueurs froides à certains lorsqu’il s’est glissé dans un premier coup … à 80 kilomètres de l’arrivée.

« Je pense qu’on a fait une belle course avec l’équipe, a certifié Naesen. Dès les premières cassures, on était devant. On a toujours été dans le match. Après, quand tu es dans le match, tu gaspilles aussi un peu d’énergie. Mais malgré ça, on était encore là dans le final avec Silvan et Stijn. Les six devant sortent après la chute de Tiesj Benoot et c’est un peu la frustration du jour. Ils prennent 50-100 mètres d’avance… Après, honnêtement, quand tu es le meilleur, tu arrives à les boucher. Je n’ai pas réussi, personne n’a réussi d’ailleurs. Il n’y a pas de honte à voir mais c’est une petite frustration tout de même. »

On retrouvait un discours tout à fait similaire chez Silvan Dillier (22e à l’arrivée, ndlr), qui a même roulé pour son coéquipier dans les dix derniers kilomètres, espérant une temporisation à l’avant de la course : « On était dans le match jusqu’au moment où Tiesj Benoot tombe dans la nouvelle montée du parcours (l’Elverenberg à 29 km de l’arrivée, ndlr). C’est dommage, cela nous prive peut-être d’un très joli truc mais je pense qu’il y a beaucoup de points positifs à retenir en vue des échéances futures. On était vraiment là où ça cassait, quand les favoris sont partis, on était bien dedans, on était bien dans le match. À la fin, on a un peu de malchance mais c’est le sport. Tout n’est pas entre nos mains, les circonstances décident parfois de la course. »

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