Tour de France : Les chemins de terre de plus en plus nombreux à l’avenir

Dans une interview donnée à l’AFP en début de semaine, le directeur du Tour Christian Prudhomme a retenu que le parcours des prochaines éditions offrirait logiquement de plus en plus de passages sur des routes non goudronnées.

Les chemins de terre sont à la mode. Révélées notamment par les jeunes Strade Bianche, ces portions de route dynamitent la course en proposant des surfaces non habituelles aux coureurs. L’édition 2018 du Tour de France en promet un avant-goût avec la 10e étape, et un passage sur une route en terre dans le site du Plateau des Glières. « Il y a une évolution dans les rangs du peloton, à voir le succès des Strade Bianche », décrit Christian Prudhomme, bien décidé à s’en inspirer.

Crée en 2007, la Classique italienne est déjà reconnue comme un rendez-vous incontournable du calendrier. « Nous n’y sommes pas insensibles : on a fait les chemins de calcaire sur Paris – Nice, on met le plateau des Glières cette année et on a d’autres projets, annonce le directeur du Tour. On veut utiliser tout ce qui peut exister pour rendre la course dense et faire en sorte de surprendre. » Organisée par ASO, comme le Tour de France, la Classique Paris – Tours a d’ores et déjà annoncé l’apparition de chemins calcaires pour sa prochaine édition.

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