Jérome Cousin : « C’est difficile de résister »

A l’initiative de l’échappée du jour, Jérome Cousin (Direct Energie) s’est confié après l’arrivée de la quatrième étape du Tour 2018. A l’avant jusqu’à la flamme rouge, le vainqueur d’étape sur Paris-Nice aura avec ses compagnons de route animé l’étape du début à la fin.

« J’ai passé pas mal de temps sur la Baule, c’était que des routes que je connaissais. On a traversé le village de mon club formateur qui m’a amené sur la piste, donc c’est vrai que j’ai pris beaucoup de plaisir à l’avant sur toutes les routes de la Loire-Atlantique et de la Bretagne. Ça s’est joué à peu de chose, on s’est fait reprendre à un kilomètre de l’arrivée, un petit peu plus peut-être, comme quoi… des fois il faut essayer, on ne sait jamais, sur un malentendu ça peut marcher. » Interpellé sur la longue ligne droite finale, le coureur de Direct-Energie répond : « oui, il y avait 4km de ligne droite, et après toutes les routes sinueuses nous avons pris de grands boulevards, des faux-plats montants, descendants, donc face à un peloton… avec le phénomène d’aspiration quand on est que quatre c’est difficile de résister, mais on s’est très bien battu et je pense que ça s’est joué à peu de chose donc c’est quand même rageant. » 
Dans un autre registre, la présence de deux français et deux belges à l’avant est évoqué en référence au match de la coupe du monde de football ce soir : « c’est le premier truc que je me suis dis quand on est parti, il y a deux belges et deux français, j’ai dis à Dimitri Claeys « alors on pronostique quoi pour ce soir ? » C’était un petit sujet de rigolade pendant les premiers kilomètres, mais sur la fin on ne discutait plus trop football ». 

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