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Tour de France : André Greipel ne comprend pas son déclassement

Deuxième du sprint massif de la huitième étape entre Dreux et Amiens ce samedi, le sprinteur allemand a été déclassé pour un accrochage avec Nikias Arndt (Sunweb) quelques mètres après le passage de la flamme rouge. Il regrettait déjà de ne pas avoir gagné, alors être privé de sa deuxième place… Après avoir appris la décision des commissaires, André Greipel était très déçu et quelque peu remonté.

Lorsque Peter Sagan a lancé les hostilités, Greipel a pris son sillage. Il était parfaitement placé pour faire parler sa puissance mais a été gêné par Fernando Gaviria (Quick-Step). Le Colombien lui a même adressé un coup de tête dans le dos à 100 mètres de la ligne, alors qu’ils étaient lancés à pleine vitesse. « J’ai été privé de la victoire par la manœuvre de Gaviria. Moi, j’ai tenu ma ligne. Quand il n’y a pas la place, il n’y a pas la place, décrivait le sprinteur allemand dans une vidéo publiée par la Lotto-Soudal ce samedi soir. J’ai l’expérience de ne pas ouvrir d’espace, mais j’ai dû freiner deux fois pendant le sprint, ce qui m’a coûté la victoire. »

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Si Gaviria a bien été déclassé de l’arrivée pour son comportement dans les derniers mètres de course, ce n’est pas le cas de Greipel. Le sprinteur allemand, titulaire de onze succès sur le Tour de France, a appris plus tard dans la soirée qu’il avait été privé de sa deuxième place pour un accrochage à 800 mètres de la ligne avec Nikias Arndt (Sunweb). « Je l’ai appelé pour connaître son point de vue sur la situation : lui-même a reconnu qu’il n’était pas à sa place, explique Greipel. Je ne l’ai pas touché avec ma tête, c’est tout ce que je peux dire. C’était épaule contre épaule, ce qui me semble normal dans un sprint massif. S’ils commencent à disqualifier les coureurs pour ça, alors ils devraient regarder les 50 derniers kilomètres de chaque étape. Et là, la moitié du peloton n’arriverait pas à Paris. »

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