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Arnaud Démare : « On s’est fait prendre au piège d’emmener le sprint vent de face »

Arnaud Démare n’a pas encore retrouvé son coup de rein habituel. De retour à la compétition sur Paris-Nice après avoir été grippé au Tour d’Algarve, le sprinteur de la Groupama-FDJ a pris la huitième place de la troisième étape ce mardi. Déjà huitième la veille, il avait coupé la ligne en septième position lors de l’étape d’ouverture.

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« C’était un sprint avec un gros coup de bordure à 4-5 bornes. On a fait un gros effort avec Ramon (Sinkeldam) qui nous a bien remonté. Une fois devant, on a voulu profiter de ce petit comité pour rester aux avant-postes, a détaillé Démare. Au final, on s’est fait prendre au piège d’emmener le sprint vent de face. Quand le sprint se lance, ça part très vite. A 300 mètres, je ne pouvais pas lancer vent de face. Il fallait que j’attende et puis je me suis fait prendre de vitesse. Je n’avais pas non plus la force pour remonter. »

Sur son état de forme général, le Picard notait qu’il se sentait un peu mieux, mais que l’étape terrible de la veille avait laissé des traces. « J’ai senti une évolution hier. Aujourd’hui, il y avait peut-être un peu de fatigue à cause d’hier. Je pense que c’était général dans le peloton. En fait, c’est surtout la nervosité qui fatigue. Les 50-60 derniers kilomètres sur petites routes ont été très nerveux. Il y a eu des petites chutes, des accrochages. C’est la nervosité qui rend Paris-Nice difficile. »

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