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Christophe Laporte : « C’est génial »

Christophe Laporte a rapidement évacué sa frustration du prologue. Au lendemain de sa troisième place dans l’exercice chronométré, mené pendant plus d’une heure et finalement perdu pour deux petites secondes, le coureur de l’équipe Cofidis s’est vengé de la plus belle des manières. Sur des terres qu’il connait très bien, le Varois de 25 ans a enlevé la première étape en ligne du Tour La Provence, à Istres, au terme d’un sprint massif qu’il a complètement dominé, avec l’aide de ses collègues. « L’équipe a fait un super bon boulot pour me placer avant le virage à gauche, c’était hyper important, a souligné le jeune homme au micro de La Provence, quelques instants seulement après en avoir terminé. Je vire en tête dans la roue de Dorian Godon qui a fait un boulot énorme. Julen Irizar se glisse entre nous deux avant le virage à droite, et j’ai lancé juste avant. Je me sentais bien et je n’ai pas regardé derrière. Je suis très heureux. L’équipe a fait un super travail et je suis super content ».

Quelques jours seulement après son succès d’étape sur l’Etoile de Bessèges, accompagnée d’une deuxième place au général final, Laporte s’est donc octroyé son deuxième bouquet de l’année. En l’espace de neuf jours, il vient donc de lever les bras autant de fois que lors des ses quatre premières saisons chez les professionnels. Dissocié de Nacer Bouhanni en ce début de saison, Laporte a visiblement été plus responsabilisé. Et il assume parfaitement. « On avait bien préparé ce sprint, a-t-il encore dit. Hier soir avec Dorian [Godon], qui est mon collège de chambre, on avait un peu regardé les images sur Maps. On savait que c’était un final houleux. J’avais dit, soit je suis dans les 4 premiers à gauche, soit on lance, avec dans l’idéal avec un mec devant moi. Et c’est ce qu’il s’est passé. C’était idéal. J’avais juste à sprinter, bien virer et ça je sais faire. C’est super. En plus c’est chez moi, je connais très bien l’organisateur, c’est génial. »

Malgré cette euphorie actuelle, le coureur de la Cofidis remet immédiatement les pieds sur terre lorsqu’on évoque le général : « Si on n’avait fait l’Espigoulier qu’une fois, j’aurais pu limiter la casse, mais là il y a vraiment des bons grimpeurs et ce n’est même pas envisageable ».

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