Christophe Laporte moins à l’aise dans les « sprints véloces »

Nacer Bouhanni pas au mieux et contraint à l’abandon lundi, Christophe Laporte a endossé le rôle de leader pour la Cofidis sur Paris-Nice. En verve lors de la seconde étape, avec une cinquième place à l’arrivée d’Amily, le jeune homme de 24 ans s’est de nouveau frotté au gratin mondial du sprint hier, à Châlon-sur-Saône. Avec un peu de moins de réussite cette fois-ci, dans un emballage plus massif et forcément plus tendu que la veille. « J’ai fait de mon mieux pour me placer, c’était compliqué de rester en équipe et j’ai fait certains efforts superflus, a-t-il dit après avoir franchi la ligne en huitième position. C’était un sprint particulier, avec mes derniers mètres en faux plat descendant. C’était rapide, dangereux, houleux. Je n’aime pas trop ces sprints véloces, ce n’est pas ce que j’affectionne. Je préfère quand ça arrive au terme d’une étape qui a entamé les organismes. » Ce que lui et son équipe espèrent retrouver à Bourg-de-Péage jeudi. « On peut faire de belles choses car ce sera un tracé plus usant », a d’ailleurs affirmé son directeur sportif Jean-Luc Jonrond.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.