Kuurne-Bruxelles-Kuurne : Les déclarations au départ (avec vidéos)

Deuxième volet du week-end d’ouverture belge ce dimanche. Au départ de Kuurne-Bruxelles-Kuurne, plusieurs candidats au titre ont répondu à nos questions. Les entretiens ont été filmés et sont disponibles en cliquant sur le nom des coureurs. La course est à suivre en direct commenté sur notre site (ici).

Jasper Philipsen (UAE Team Emirates) : « Hier, c’était une course très difficile. C’était également une nouvelle expérience pour moi. C’était très nerveux pendant la course et c’était dur d’être devant. Ensuite, les jambes ont parlé et sur la fin je n’avais pas la force nécessaire pour être en tête du peloton. C’était une expérience compliquée, mais j’adore ces courses donc je reste très motivé. On verra si dans le futur je deviens assez fort pour être un concurrent sérieux sur ce genre d’épreuves mais j’ai encore du temps, et quelques années pour devenir meilleur. Donc à chaque fois que j’ai l’opportunité de courir ici, c’est une bonne chose pour l’avenir. Aujourd’hui, c’est normalement pour les gars rapides, mais avec les conditions météo du jour, ça change la donne. Je pense que ça se jouera plus en petit groupe. »

Jens Keukeleire (Lotto-Soudal) : « Je pense que le scénario de Kuurne-Bruxelles-Kuurne dépend toujours de la météo. S’il y a du soleil et pas de vent, c’est normalement un sprint massif. Mais avec un temps comme celui-ci (pluie, vent), ça va être une course difficile. Je ne m’attends pas à ce qu’il y ait 150 coureurs à l’arrivée aujourd’hui. Pour notre équipe, c’est mieux si la course est dure. Pour moi aussi, plus le groupe est réduit à l’arrivée, mieux c’est. La zone des monts sera cruciale mais je pense aussi qu’avec le vent, la décision peut se faire à n’importe quel moment. Le départ sera très nerveux et j’espère que la course sera dure longtemps. »

Pascal Ackermann (Bora-hansgrohe) : « Je pense que la condition est vraiment bonne. Elle l’était déjà hier, mais malheureusement j’ai chuté. J’espère que mon genou va mieux aujourd’hui. La météo est contre nous, sprinteurs, mais on ne sait jamais. On va essayer d’arriver au sprint. De toute façon, j’aime quand la course est dure et je pense que c’est un bon parcours aujourd’hui. Dans le Quaremont, il y aura forcément une cassure dans le peloton mais avant, avec le vent de côté, ça peut également exploser. Il faudra faire le point après le Quaremont, voir où sont les sprinteurs, et on aura une idée de si oui ou non, un emballage est possible. »

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