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Trop tôt cette fois-ci pour Dan McLay

Décidément, Dan McLay ne parvient pas à trouver le bon timing. Parti trop tard lors des sprints précédents, le Britannique est parti trop tôt hier dans le sprint de Bergerac comptant pour la dixième étape du Tour de France. « Avec du recul, je n’aurais pas dû quitter la roue de Kittel mais il fallait que j’essaye, a-t-il déclaré dans un communiqué de Fortuneo-Oscaro. Je pensais qu’il attendrait un peu pour lancer et que je prendrais l’avantage mais il a tout de suite pris ma roue et je me suis fait passer à 200 mètres. Je ne pouvais plus revenir… La dernière fois, j’avais lancé mon sprint trop tard, aujourd’hui c’était trop tôt, et demain… je ne sais pas le traduire en français alors je vais le dire en anglais ‘I can get it’. » Le sprinteur de la formation bretonne peut aller chercher cette victoire, ou en tout cas il y croit. Il espère bien lancer au bon moment dans un sprint attendu encore aujourd’hui à Pau.

L’étape d’hier a aussi été animée par le benjamin du Tour de France, le jeune Elie Gesbert, parti dans l’échappée du jour avec Yoann Offredo. Il est revenu sur cette expérience. « Ce matin, j’avais l’autorisation d’aller dans l’échappée, alors je ne m’en suis pas privé, a-t-il expliqué. J’y ai cru à un seul moment, à 25 kilomètres de l’arrivée, quand on a repris du temps au peloton. Je me suis dit :  »si on arrive avec 1’30 d’avance à 15 kilomètres, il y a un coup à faire. » On est repris à 6 kilomètres de la ligne… »

Gesbert n’est pas reparti les mains vides de cette étape puisqu’il a enlevé le dossard de la combativité qu’il portera aujourd’hui. « Je suis le plus jeune coureur du Tour, mais je n’ai pas de complexe. Je viens de vivre ma première échappée sur le Tour et mon premier podium. Le public m’a encouragé durant les 167 kilomètres d’échappée. Même si ce matin le prix de la combativité n’était pas un objectif, c’était quand même un grand moment. Je me changeais entre Chris Froome et Marcel Kittel, je ne me laisse pas facilement impressionner, mais j’avais des frissons sur le podium, ça donne envie d’y retourner (rires). »

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