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Marcel Kittel : « Je ne sais pas pourquoi j’ai perdu hier »

Après Alexander Kristoff (Katusha) hier, c’est au tour de Marcel Kittel (Quick Step) de renouer avec la victoire en s’imposant sur la première demie-étape de la troisième et dernière journée des 3 Jours de La Panne. L’Allemand s’impose au sprint devant Kristoff, justement, après un peu plus d’un mois de disette. Il faut dire que depuis sa dernière victoire, sur le Tour d’Abu Dhabi, il n’avait couru que Paris-Nice, où son meilleur résultat a été quatrième, à Châlons-sur-Saône. Aujourd’hui c’était loin d’être gagné puisque Marcel Kittel est tombé à l’entame de l’avant-dernier tour local, à 14 kilomètres de l’arrivée.

Marcel, quand vous êtes tombés, pensiez-vous ne plus avoir aucune chance ?
Non. Quand je suis tombé, j’ai essayé de me relever le plus rapidement, j’ai contrôlé si mon vélo n’était pas cassé et je suis reparti. Effectivement, au début, l’écart paraissait important mais je me sentais très bien depuis le début de la journée. L’équipe avait déjà beaucoup travaillé pour contrôler la course, aussi pour Phil’ (Gilbert) mais aussi pour avoir une arrivée au sprint. Puis Tim (Declercq), Jack (Bauer), Davide Martinelli et Saba’ (Fabio Sabatini) m’ont attendu et ils étaient vraiment forts. Ils m’ont ramené et là il était clair pour moi que tout était encore possible pour moi.

Troisième hier, qu’est-ce qu’il y avait de différent entre le sprint d’hier et celui d’aujourd’hui ?
Je ne sais pas pourquoi j’ai perdu hier (rires). Cela a l’air stupide. Je me sentais pourtant très bien. Peut-être que précédemment la journée avait été dure et que j’y avais laissé trop de forces, mais c’était pareil pour tout le monde. Alex’ (Kristoff) était peut-être simplement plus fort hier. En tout cas ça m’a donné une dose supplémentaire de motivation pour aujourd’hui. J’étais en très bonne position en étant cinquième dans le dernier virage. J’ai pu me caler dans la roue d’Alex’ (Kristoff). C’était mon avantage.

Cela fait plus d’un mois que vous n’aviez pas gagné. Cela peut paraitre long pour un sprinter.
J’ai fait Paris-Nice où j’étais en très bonne condition. Je voulais avoir des résultats mais ça ne m’a jamais souri. Après ça j’ai pris un bon repos pour être prêt pour La Panne et le Scheldeprijs (Grand Prix de l’Escaut).

Le Grand Prix de l’Escaut est l’un de vos grands objectifs de la saison. Pensez-vous être dans les temps ?
Je suis en bonne forme oui. J’ai pu le constater sur les deux premières étapes et aujourd’hui. Tout semble bien se passer.

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