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Mark Cavendish pas inquiet pour Milan-San Remo

« Seulement » vainqueur à une reprise depuis le début de la saison, Mark Cavendish n’a pas envoyé des signaux totalement positifs à quelques jours de Milan-San Remo. Hier, le Britannique n’a d’ailleurs pas pris le départ de la dernière étape de Tirreno-Adriatico, un contre-la-montre individuel de dix kilomètres, sur lequel il estimait sans doute ne pas avoir la possibilité de s’exprimer. Le coureur de la Dimension Data était davantage attendu lors des troisième et sixième étapes mais on ne l’a pas vu. Mal positionné et gêné par la chute à Montalto di Castro, il n’était pas non plus dans le coup lundi lors du final périlleux à Civitanova Marche.

Pour autant, l’ancien champion du monde est apparu serein mardi, lorsqu’interrogé par Cyclingweekly sur sa semaine transalpine. « C’était un bon Tirreno-Adriatico, les étapes n’étaient trop difficiles, mais tout de même assez pour puiser au fond de soi-même, a-t-il confié. Certaines années, nous traversions les Apennins vent de face et nous perdions en condition physique car nous avancions lentement, aussi parfois car c’était tellement dur… Mais nous sommes revenus sur un format avec des petites bosses explosives et c’est bien pour tout le monde ». S’il n’a pas eu l’opportunité de briller dans la Course entre les Deux Mers, le Cav’ ne se voulait pas inquiet à l’approche de la Primavera. « Je sais que je suis un peux mieux que l’année dernière, a-t-il affirmé. Je ressortais tout juste d’une période sur la piste. Puisque ce n’est pas le cas cette saison, je devrais être un peu plus de forme pour Milan-San Remo. »

Assez pour battre Peter Sagan ou Fernando Gaviria, tous deux lauréats sur Tirreno-Adriatico, et triompher pour la deuxième fois après 2009 ? « C’est le Monument le plus facile à terminer, mais le plus difficile à gagner, a-t-il glissé. Il y a tant de scénarios qui se produisent sur 300 kilomètres que chaque centimètre compte. On ne sait jamais à quoi s’attendre jusqu’aux derniers centimètres. C’est ce qui la rend belle, on ne peut jamais prédire le vainqueur. »

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