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Tom Dumoulin, le patron c’est lui !

Cette dix-huitième étape du Tour d’Italie était un sacré morceau. Seulement 140 kilomètres, mais avec trois passages au dessus de 2000m d’altitude et une montée finale vers l’arrivée d’Ortisei. Le terrain parfait pour que les grimpeurs attaquent le maillot rose Tom Dumoulin (Sunweb), le rouleur. Ils ont bien tenté mais d’une, Dumoulin n’a pas flanché, de deux,… il s’est même permis d’attaquer. De trois, sans complexe, sûr de lui mais sans aucune prétention, juste avec son honnêteté naturelle, le Néerlandais se paye Vincenzo Nibali (Bahrain – Merida) et Nairo Quintana (Movistar) en interview après l’arrivée. Quel charisme !

Tom, on a pu vous entendre dire que vous aimeriez que Nairo et Vincenzo perdent le podium à cause de leur attaque.
C’était peut-être un peu dur à dire mais ils ont clairement fait un pacte tous les deux pour me faire perdre plutôt qu’essayer d’aller gagner. Je ne suis pas surpris mais je ne trouve pas ça cool. Maintenant d’autres leaders se rapprochent du podium alors j’espère que Pinot et les autres feront un excellent chrono dimanche… (sourires)

Quand Quintana et Nibali ont attaqué, vous n’aviez pas les jambes pour suivre ou c’était un jeu tactique ?
Si, j’avais les jambes pour les suivre mais j’ai préféré prendre mon propre rythme et je savais qu’au sommet je devrais être dans leurs roues et j’y étais… donc c’est bien.

Milan se rapproche de plus en plus…
Oui mais dans la Vuelta, j’ai tout perdu la dernière journée. Je sais qu’une mauvaise journée peut vous faire perdre énormément. Il faut juste rester calme. Il y a encore deux jours de montagne à venir et le chrono. On est encore loin de Milan.

Mais vous étiez extrêmement fort aujourd’hui.
Aujourd’hui oui mais peut-être demain non… Je n’ai pas eu que des bonnes journées dans ce Giro, comme tous les favoris au général. Heureusement aujourd’hui j’avais de bonnes jambes.

Vous vous êtes même permis d’attaquer Quintana et Nibali.
Oui j’ai vu que Nibali et Quintana commençaient à fatiguer. Je me sentais bien alors j’ai voulu les tester un peu.

Vous pensez être le plus fort de ce Giro ?
Je pense que je suis le plus calme. Je ne sais pas si je suis le plus fort mais assurément l’un des plus forts.

Vous semblez le plus calme, le plus serein. Vous dégagez une certaine confiance en vous.
Je crois en moi oui. J’ai aussi des doutes, mais j’essaie surtout de rester positif. J’ai perdu La Vuelta peut-être parce que j’étais un peu trop négatif et ça m’a fatigué et après c’est difficile de repositiver.

Vous avez un coach mental ?
J’apprends vite. J’apprends de mes erreurs passées et c’est mieux maintenant.

Un commentaire

  1. Vous avez toujours des articles intéressants, assez variés et plutôt bien documentés mais de grâce prenez le temps de vous relire avant de publier vos écrits, ou alors investissez dans un correcteur orthographique ! Trois grosses fautes en vingt lignes c’est beaucoup.
    Je ne suis nullement un amoureux de la langue française, plutôt un vieux grincheux que certaines choses rebutent (et là c’est le cas) et je ne dois pas être le seul.
    Faites un petit effort (on doit trouver un dictionnaire pour 20€) mais ne changez rien sur le fond et je vous lirai avec encore plus de plaisir.

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